Les concerts : Dj Shawny

mix / Saint-Quentin

 

Dj depuis le siècle dernier, Shawny alias Séb baigne dans l’électro. Mais a de nombreuses influences musicales diverses… Ado dans les 80’s, ses goûts vont du punk à la new-wave avec une pointe de ska, reggae et de rock alternatif.

Après une session dans les clubs Tek-house belges au début des 90’s, la révélation pour la Trance viendra en 1995, suite à une soirée parisienne organisée par Gaïa Concept, époque bénie de Total eclipse, Hallucinogen, Etnica…

Depuis le virus est là, avec une préférence pour la Psytrance bien rythmée. Ses orientations au mix vont de Zen mechanics, burn in noise, à Illegal machines, Hyper frequencies voir Shotu, Kindzaza et Yab-yum. Mais également Sphongle ou Atmos…

En parallèle, membre de Teknitrance et au bureau de Psycardie (associations Trance) l’organisation de soirées (et les galères…) n’ont plus de secrets pour lui. Pour sortir des sentiers battus, il mixera à l’occasion Tribe ; Hardtek et électro-dub. Résidant au pub « le lutin bleu », chez Fifi (figure de la scène Trance française) il y mixe, bien sur de la Trance, mais également, depuis 5 ans du «back to basic »…

Le « back to basic » est un mix qui navigue entre les standards des 60’s aux 00’s, avec un arrêt obligatoire par les 80’s ! Les styles varient du rock au punk via la new-wave sans oublier quelques tracks indémodables et intemporels, parfois inclassables…et le public touché par ce son est des moins de 20 ans aux plus de 60 !

Depuis les dates sont multiples et variées car le public touché est beaucoup plus large… 
Régulièrement Shawny mixe pour les entre-scènes et les clôtures de concerts ou de festivals, dans des pubs ou des soirées privées.

A joué sur de multiples dates avec entre autre – Didier Super (x2) – Les fatals Picards (x3!) – Les fils de Theupu – Massilia sound System – Raoul Petite…

Fan inconditionnel des Nuls, de Paulo Anarkao, d’Audiard, de Desproges, et J-C Convenant… il ne souhaite surtout pas se prendre au sérieux dans ce monde de DJ, qui pour certains, se prennent pour Guetta (ce qui est loin d’être une gloire…).